Nos équipements minimisent la gêne pour les riverains en garantissant une étanchéité parfaite aux nuisibles. Nos abris-bacs sont conçus pour épouser le sol. Le capot et les panneaux sont plaqués sans aucun jeu, et une plaque de fond assure une barrière efficace contre les intrusions d'animaux indésirables.

Les déchets alimentaires ne sentent pas nécessairement mauvais, surtout s’ils sont collectés régulièrement. Mais ils génèrent des jus (lixiviats) qui peuvent stagner au fond des bacs ou sécher sur les parois de ces derniers. La meilleure manière d’éviter des odeurs incommodantes est de laver l’abri-bac et son contenant logé à l’intérieur régulièrement.

Les biodéchets ou déchets fermentescibles sont constitués des déchets alimentaires et des autres déchets naturels biodégradables, c’est-à-dire se décomposant sous l’action de micro-organismes tels que les bactéries et les champignons. Un déchet est donc biodégradable s’il peut être converti en dioxyde de carbone ou en méthane, en eau et en biomasse sous l’effet de ces micro-organismes. Concrètement, on peut jeter dans la « poubelle » biodéchets tous les restes alimentaires d’origine végétale (légumes, fruits), mais aussi carnée ou d’origine animale (viande, poissons, laitage).

Tout dépend du mode collecte retenu (collecte en benne à ordures ménagères ou collecte en rotation avec un camion équipé d’un hayon) et du territoire à collecter. En zone urbaine dense, un abri-bac 240 voire 120 litres peut être bien adapté. En zones rurales ou semi-rurales, un abri-bac de plus grande taille (400, 500 ou 600 litres) peut être bienvenu, d’autant qu’il peut permettre de collecter également des petits producteurs de déchets.

Un habitant génère en moyenne 70 à 80 kg de biodéchets par an. Cela équivaut peu ou prou à 1,5 voire 2 kg par semaine. Un abri-bac de 240 litres collecté à raison d’une fois par semaine permet de desservir 40 à 50 foyers. Par ailleurs, un avis du Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires préconise la mise en place d’un abri-bac tous les 100 mètres en zone urbaine dense ou touristique.

Bien que ce site web puisse être lié à d'autres sites web, nous n'impliquons pas, directement ou indirectement, une quelconque validation.

Oui. Il suffit de dévisser les chevilles de fixation. Un simple transpalette permet de le déplacer aisément vers un autre lieu d’implantation si souhaité.

Le contrôle d’accès favorise une plus grande responsabilisation de la population dans la mise en place du tri et une meilleure qualité des gisements. Les objectifs recherchés peuvent être multiples : éviter la présence de déchets indésirables, éviter les débordements, évaluer les quantités déposées, mettre en place des politiques incitatives…

Oui, notre système de contrôle d’accès permet l’interopérabilité avec des cartes existantes (de déchetterie par exemple).

La pesée permet d’informer la population sur la destination de ses déchets et sur le bienfondé de ses efforts. Elle permet également une distribution optimale des abri-bacs sur le territoire en fonction des poids relevés.

Oui, le contrôle d’accès Axibio peut tout à fait être mis en place dans un second temps. Une réservation est prévue à cet effet à côté de la trappe d’ouverture.

Oui, il suffit d’un identifiant et d’un mot de passe pour se connecter et suivre toutes les données. Plusieurs personnes peuvent donc y avoir accès.

Mesurer quotidiennement les pertes alimentaires permet d'identifier les sources de gaspillage, d'optimiser la gestion des stocks, et de réduire les coûts. Or, ce qui ne se mesure pas n’existe pas. La mesure quotidienne par la pesée débouche généralement sur des actions de réduction du gaspillage.

Les solutions proposées par Axibio permettent d’identifier aisément l’origine grâce à un système de catégories lors du dépôt.

Nos équipements envoient les données sur le cloud via le réseau de téléphonie mobile (2G, 3G, 4G, 5G). Ils n’ont pas besoin du Wifi local. Vous pouvez ensuite visualiser ces données sur votre portail web.

L’établissement générant les biodéchets doit tenir à jour, et conserver pendant 3 ans, un registre des déchets non-dangereux, mais également fournir un Document d’Accompagnement Commercial (DAC) des biodéchets SPAn 3 et le conserver pendant 2 ans.

Vous pouvez sélectionner autant de catégories que vous le souhaitez. Nous recommandons, dans un souci logistique, un maximum de 8.

La GaïaPro se branche sur une prise normale 220 V et ne consomme que très peu d’énergie.

Non, l’équipement se connecte directement au réseau de téléphonie mobile disponible autour de lui (2G, 3G, 4G, 5G).

Il convient d’utiliser des sacs transparents sur des portes-sacs avec ouverture pédale. Nous recommandons les sacs basse densité renforcés. Il est également possible d’utiliser des bioseaux de 35 litres pour ceux qui souhaitent mettre en place une collecte en vrac.

Le déconditionneur est conçu pour traiter une grande variété de matières emballées issues de secteurs différents : déchets de restauration, rebuts de production alimentaire, produits en conserve, fûts, lait en poudre, fruits et légumes, contenants Tetra Pak, emballages souples, sachets, confiserie, aliments pour animaux de compagnie, boissons, pots de yaourts, sachets de biscuits…

Non, le déconditionneur ne traite pas ce type de matériau. Il faut éviter d’en introduire au risque d’en avoir dans la soupe issue du déconditionneur.

Il n’y a pas de règle précise. Mais si l’équipement doit être arrêté quelque temps, il est préférable de le nettoyer pour éviter d’avoir de la matière organique qui sèche et s’accumule sur les pièces mécaniques à l’intérieur.

N’importe quel contenant, bac ou caisse-palette. Il faut simplement que la collecte se fasse en rotation et non en benne à ordures ménagères.

Vous devez pouvoir fournir un Document d’Accompagnement Commercial (DAC) pour chaque collecte, tenir à jour un registre des déchets non-dangereux, et produire chaque année un bilan environnemental des matières organiques valorisées.